creatures-soul

Cocaïne Body [si seulement]

Mardi 16 février 2010 à 22:48

Et ça leur plaisait de pouvoir se dire « nous sommes peut-être les seules à avoir foulé ce sol que tant d’autres ont désiré ».

I
l y avait parfois le soleil, souvent le soleil, le froid, le vent des plaines désertes, l’herbe rase, brûlée, les buissons piquants tordus, agités par les rafales. Il y avait les rafales salées des bords de mer, la beauté des couchers de soleil et le sable qui se refroidissait sous leurs pieds nus. Elles avaient les chaussures en bandoulière et la corne sous les talons, salies de boue et de poussière jusqu’aux chevilles.

Non et vous avez raison. Ça change, ça bouge, ça se remue, s’étire, rampe, crache. Et ça se transforme. Ni en bien, ni en mal. Ça change. Point.


Une rencontre étrange, instinctive, insaisissable
Ça devenait une caravane de voyage organisé, cette histoire



Clope aux lèvres et cheveux trop longs.

Ils avaient émergé de la forêt avec le naturel de deux chevreuils en goguette, les mains dans les poches

Tour à tour couples d’amitié ou de désir, mais toujours amoureux.


_______


 Sinon, sérieusement, il faut écouter la sonate n°15. C'est quelque chose.

 

Par Patate masquée le Mercredi 17 février 2010 à 19:59
Mon dieu.

Je l'avais pas relu depuis un moment.
C'était le pied quand même.
Et puis oui oui, on est des guedins.
Plus je lis, plus je comprends ce putain de lapsus révélateur ...

Mais qu'est ce qu'on va faire de nous bordel ?! ^^
Et d'eux ... Alalala.

T'aime <3.
 

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